Fusion – Meeschaert Amilton AM change de nom

Meeschaert Amilton AM change de nom
"Est-ce qu'il y a Amilton dans mon nom ?" "Euh... Non !"

Un peu plus d’un an après la fusion entre Meeschaert Asset Management et Amilton Asset Management, le nouvel ensemble constitué change de patronyme. Enfin, pas vraiment…

Nous aurons à peine eu le temps de nous habituer à Meeschaert Amilton AM que déjà il faut s’accoutumer à une nouvelle désignation. Enfin nouvelle, pas vraiment. La mention Amilton disparaît. Et le nouvel ensemble fusionné au mois de septembre 2021 se nommera désormais… Meeschaert AM. Pas très loin donc du Meeschaert Asset Management qui préexistait au rapprochement.

Rappelons tout de même que dans cette acquisition, les deux parties appartenaient au même groupe, LFPI. Le projet de traité de fusion rappelait par ailleurs qu’Amilton était bien la société absorbée par Meeschaert Asset Management. À cela s’ajoute le fait que Meeschaert jouit d’une réputation dans l’investissement ISR, comme le rappelait Fabien Bismuth, président du directoire du groupe Meeschaert lors de la grande interview News Asset Pro en mars dernier. Par les temps qui courent et au regard de l’appétit des investisseurs pour le vert, cela sonne comme un atout indéniable au moment de rationaliser la dénomination de l’ensemble.

MAM, MAM

Dans la lignée de ce changement de nom, six des fonds portés par le groupe bénéficient également d’un lifting patronymique. Ainsi, « Amilton Premium Europe » devient « MAM Premium Europe ». « Amilton Solution » est renommé « MAM Solution ». « Amilton Small Caps » se rebaptise « MAM Small Caps ». Même motif même punition pour « Amilton Global Property », « Amilton Short Duration. Et enfin « Amilton Strategic Income ».

Selon nos informations, un nouveau fonds doit d’ailleurs être lancé tout prochainement.

« Pour Meeschaert Asset Management, ces changements reflètent la réussite de l’intégration des équipes et de l’harmonisation des process et outils pour une réponse toujours plus pertinente aux problématiques de ses clients et partenaires », indique un communiqué. La digestion aura duré un peu plus de 12 mois.

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Après un échec en école de commerce (eh oui ça arrive, même si c’est rare ! De toute façon ce n'était pas fait pour moi), direction la fac d'éco pour décrocher une licence, puis une école de journalisme avec un diplôme spécialisation documentaire en poche. Longtemps pigiste pour Science et Vie Junior, je rejoins Seroni en 2009 comme titulaire et pour couvrir l'actualité de l'assurance. A presque 30 ans, je peux donc enfin quitter le domicile parental pour partir à la découverte du vaste monde... de l'assurance. Et désormais de la finance en général. Ah oui, j'oubliais. Je suis Breton, alors ne me parlez pas du Mont Saint-Michel ou de la pluie... Surtout que vous savez sûrement sur qui il pleut en Bretagne !