Nomination – Florent Martini rejoint la gestion privée d’Amplegest

Florent Martini intègre les équipes gestion privée d'Amplegest.
Florent Martini intègre les équipes gestion privée d'Amplegest.

Amplegest renforce son équipe gestion privée avec l’arrivée de Florent Martini. Il prend le poste de gérant de portefeuilles.

Les douze derniers mois ont été chargés pour Amplegest. Au mois d’octobre dernier, la société de gestion passait sous la bannière du groupe Cyrus. Dans la foulée, l’assemblée générale d’Amplegest validait la fusion avec Invest AM, et son milliard d’euros d’encours sous le capot. Le rapprochement donnait naissance au « new Amplegest », comme le nommait alors Arnaud Langautier, président du gérant.

Objectif 6 milliards

« 2022 est une année importante pour le groupe Cyrus car nous avons changé de taille grâce à Amplegest et nos autres acquisitions. Les équipes d’Amplegest (60 personnes) se mettent au service des clients du Groupe Cyrus, pour apporter les meilleures solutions de gestion », déclarait pour sa part Christophe Mianné, président du conseil de surveillance d’Amplegest et directeur général de Cyrus. L’ambition d’Amplegest est d’atteindre les 6 milliards d’euros d’encours en 2025. Fin juin, la société gérait 3,7 milliards d’euros.

Pour y parvenir, place désormais aux recrutements. À commencer par celui de Florent Martini. À 33 ans, il intègre le pôle gestion privée d’Amplegest comme gérant de portefeuilles. Diplômé de la Neoma Business School et de Dauphine, il démarre sa carrière en 2013 au sein du fonds activité Ciam en tant qu’analyste. Après un saut de puce de moins d’un an chez UBS, il atterrit dans le groupe BNP Paribas. D’abord à la fonction de conseil Bourse et trading marchés dérivés. Depuis 2018, il était gérant de portefeuilles sous mandat chez Portzamparc.

« Nous sommes ravis d’accueillir Florent au sein de nos équipes, commente Alexandre Neuvy, directeur de la gestion privée chez Amplegest. Son expérience et son dynamisme nous permettent de consolider notre expertise en gestion privée afin de muscler l’intégralité de notre champ d’activité ».

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Après un échec en école de commerce (eh oui ça arrive, même si c’est rare ! De toute façon ce n'était pas fait pour moi), direction la fac d'éco pour décrocher une licence, puis une école de journalisme avec un diplôme spécialisation documentaire en poche. Longtemps pigiste pour Science et Vie Junior, je rejoins Seroni en 2009 comme titulaire et pour couvrir l'actualité de l'assurance. A presque 30 ans, je peux donc enfin quitter le domicile parental pour partir à la découverte du vaste monde... de l'assurance. Et désormais de la finance en général. Ah oui, j'oubliais. Je suis Breton, alors ne me parlez pas du Mont Saint-Michel ou de la pluie... Surtout que vous savez sûrement sur qui il pleut en Bretagne !