5’ Asset avec Jacques-Aurélien Marcireau (Edmond de Rothschild AM)

 

Vidéo – Dans ce nouvel épisode de 5’ Asset, Jacques-Aurélien Marcireau défend ses convictions sur la thématique des valeurs technologiques. Actions américaines au sommet, surchauffe dans l’IA, stratégie adoptée… autant de sujets que le codirecteur de la gestion actions d’Edmond de Rothschild Asset Management a abordé en 5 minutes chrono. Et pas une de plus !

Les investisseurs continuent de plébisciter le thème de l’intelligence artificielle. Un engouement qui profite à plein aux valeurs technologiques. Pour preuve, les actions de ce compartiment boursier ne cessent de voler de record en record à Wall Street. Dans ce contexte, comment se positionne Edmond de Rothschild AM et son fonds Big Data ?

Alors que les signaux de surchauffe semblent se multiplier, le gestionnaire d’actifs suisse favorise-t-il les Sept Magnifiques, ces géants américains qui investissent massivement dans l’IA ? Pour se positionner à bon compte dans la technologie, quelle stratégie de gestion adopte-t-il ? Quid du type de valeurs et des secteurs privilégiés par son fonds spécialisé, qui figure parmi les trois principaux en termes d’encours en Europe ?

Dans ce nouvel épisode de 5’Asset, Jacques-Aurélien Marcireau, codirecteur de la gestion actions d’Edmond de Rothschild Asset Management et gérant principal du fonds Big Data, a relevé le défi de défendre ses convictions en 5 minutes chrono. A-t-il réussi ?

Réalisation : Pierre Disch (Seroni)

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Après un Master 2 en Banque-Finance, je débute comme conseiller patrimonial dans un réseau bancaire prestigieux qui a depuis presque été offert à un fonds et où les marques et les restructurations se succèdent. Je deviens ensuite journaliste boursier au Revenu pour suivre la technologie et l’aéronautique-défense, une aventure qui dure près de 18 ans. Avant un retour aux sources chez News Asset Pro, où je couvre la gestion d’actifs et de patrimoine, la banque privée, l’épargne salariale et le private equity. Et sinon ? J’adore le tennis, les romans policiers et la Normandie, quand il n’y pleut pas. C’est-à-dire la plupart du temps.